Les troubles de l’alimentation chez l’enfant autiste

autisme et alimentation

Une Maman m’a dit  : « Ma fille a de grosses phobies avec la nourriture, elle ne veut manger que certains petits pots de bébé, et des pâtes, et riz blanc. Je ne sais plus quoi faire ! »

Alors je me suis rappelée des années galères, ou je m’acharnais littéralement à essayer de faire manger Le Petit Prince… je ne sais pas si beaucoup d’enfants autistes connaissent des troubles de l’alimentation, mais avec les années, j’ai compris comment arranger ça, alors je fais un article pour cette maman, et pour toutes les autres qui s’angoissent à chaque repas.

Aujourd’hui, Le petit Prince mange de tout : il a une passion pour les sushis, les pâtes, les kiwis, les crevettes, les pizzas, et les fruits de mer. Il mange des fruits, râle sur les légumes, honnit la salade verte, dévore le poulet et aime la viande bien rouge. Mais si maintenant c’est le cas, je vous assure que les premières années ont été très chaotiques. Alors je vous partage mon ressenti, mon vécu et mon interprétation sur ma situation à l’époque.

J’ai allaité le Petit Prince pendant un peu moins de 3 mois, et ça s’est très bien passé. Au moment de la diversification, on a commencé tranquille avec les soupes et là encore, ça n’a pas été très difficile. Par contre quand on est passé au solide, c’est devenu une autre paire de manches : Le Petit Prince ne voulait plus manger. Je me souviens qu’il avait entre un et deux ans, et de mémoire il devait avoir des repas diversifiés le midi, le reste étant des biberons de lait. Et systématiquement, Le Petit Prince refusait TOUS les aliments que je lui proposais. C’était le combat.

Moi, en mère parfaite que j’essayais de devenir, je me suis mise à faire des trucs complètement fous  : dans les assiettes, je composais des bonhommes en aliments; les cheveux en nouilles, le visage en jambon, des tomates cerises coupées en deux pour les yeux, la barbe en carotte rappée, les oreilles en je sais plus quoi…  Comme je voulais varier les menus tous les jours, j’avais donné des noms différents à mes assiettes : « Madame Blonde », « Monsieur Lapin »…. C’était magnifique. C’était n’importe quoi surtout.

Donc vous imaginez bien que quand l’heure de préparer le repas sonnait, je devenais hystérique : il fallait tout faire cuire, découper, préparer l’assiette et hop, c’est parti pour TopChef. Le glas sonnait et je partais chercher mon fils, qui d’emblée refusait de venir dans la cuisine. L’installer dans la chaise haute était un art délicat entre la contorsion et le judo. Je disposais le bavoir, plaçais l’assiette sous le nez dudit bambin et attendais patiemment le déclic. Mais non. Non non non : il tournait la tête. La viande il n’en voulait pas, les pâtes bof, les carottes beurk, les haricots c’est dégueu.

Pour moi c’était l’enfer, j’en avais mal au ventre avant pendant et après, je culpabilisais à mort de ne pas savoir nourrir correctement mon enfant. Et du coup je persistais, j’insistais, je m’échinais à lui faire de belles assiettes dont il n’avait cure. J’avais honte, vraiment honte : je pensais ne pas être une bonne mère. Parce que l’acte de nourrir son enfant est consciemment ou non associé avec le don d’amour : si l’enfant refuse de manger, il refuse mon amour, et ça c’est insupportable pour une mère.

Je ne me souviens pas honnêtement combien de temps j’ai continué comme ça, probablement une bonne année d’angoisse, d’appréhension des repas de mon enfant et de peur du refus de nutrition. Et puis j’en ai eu marre et j’ai eu d’autre chats à fouetter : j’étais en plein divorce, j’ai dû déménager, trouver un boulot pour gagner des sous, reconstruire ma vie. Alors j’ai abandonné les Assiettes Bonhomme. Je me suis dit : « Il ne veut pas manger ? Et bien, il mangera ce dont il aura envie et puis c’est tout. »

Alors j’ai lâché prise sur les repas: adieu les portraits de Velasquez dans l’assiette, place à l‘alimentation raisonnée : un légume, un féculent, une protéine, un laitage et un fruit. Et basta. Tu veux pas manger ? Pas grave !

Et le Petit Prince a lâché prise lui aussi. Un truc fou, on s’est rendu compte que Le Petit Prince aimait la viande rouge saignante : oui, ce n’est pas recommandé pour les enfants, on le sait tous, mais c’est ma pédiatre qui m’avait dit d’essayer la viande moins cuite parce que son fils aussi avait eu un refus de viande jusqu’à ce qu’on lui serve de la viande saignante. Et ça a marché pour le Petit Prince. Et pour tout le reste aussi : il a commencé à manger de mieux en mieux. Et quand il ne voulait que de la purée… et bien je n’insistais pas pour le reste. Par contre j’ai toujours continué à lui proposer un repas complet. S’il ne mangeait pas… je le mangeais à sa place, comme ça, pas de gâchis.

Vers les 2 ans, il a quand même développé des TOC alimentaires pas toujours faciles à gérer : si on lui présentait un bout de gâteau, que le gâteau se cassait, que la banane était rompue,  il ne voulait pas le manger (hurlements à la clé) : grosso modo, s’il y avait la moindre miette ou morceau qui tombait du Petit Lu/Kiri/banane etc. il n’y touchait même pas. Ma solution : lui en donner un autre, et manger les morceaux. Je ne savais pas du tout comment éviter ça, mais je vous assure qu’à l’époque, la nourriture du Petit Prince était tellement un soucis pour moi et j’en avais tellement d’autres à gérer que ma décision de lâcher du lest sur le sujet était un point sur lequel je n’ai jamais fait de concession, et bien m’en a pris.

En effet, je me souviens très bien du jour où pour la première fois depuis des mois, Le Petit Prince n’a pas fait de crise pour un gâteau cassé : c’était pendant un mariage, nous étions assis sur un banc de l’Eglise, c’était l’heure du goûter, et pour éviter qu’il ne s’agite, j’ai sorti un boudoir au Petit Prince : il était émietté. Et je ne sais pas ce qu’il s’est passé, mais il n’a pas crié, il a vu que le boudoir était en morceau mais il l’a mangé quand même… j’ai chuchoté pour le féliciter, doucement et rapidement et on n’a plus jamais eu de problème.

Le fait de ne plus systématiquement faire une fixation sur les repas de mon enfant a été salutaire pour nous deux, car il a mangé de mieux en mieux et moi j’étais de moins en moins stressée.

Et avec le recul, je comprends les erreurs. Et je le comprends d’autant mieux que j’ai une petite fille de 3 ans et demie qui a TOUJOURS eu des problèmes avec les repas :  depuis la diversification, elle ne veut pas manger le soir. C’est comme ça. Et parfois ça lui prend de ne pas vouloir manger du tout ou de vouloir prendre du goûter quand il est midi.

On va donc distinguer deux choses : ce que j’appelle les TOC de l’alimentation ( pardonnez-moi si cela porte un autre nom), genre ne pas manger des aliments cassés, ne vouloir manger que des aliments blancs etc… et les troubles de l’alimentation.

Pour les TOC, ils sont liés à des angoisses, qu’en tant que parent on ne peut que constater mais sur lesquelles il est difficile d’agir puisque c’est avec sa maturité, son développement et sa compréhension du monde que l’enfant va pouvoir être moins angoissé et donc moins sujet à des TOC; il aura moins besoin de tout contrôler et de mettre de l’ordre dans le chaos qu’il perçoit autour de lui. Donc en gros, mais ce n’est que mon avis : c’est tellement un ensemble de choses qui vont faire que votre enfant soit moins angoissé que les TOC, n’essayez pas d’agir dessus car si vous y touchez, il va se sentir menacé et risque de développer encore plus de TOC . Moralité : foutez-lui la paix, faites avec.

Pour les troubles de l’alimentation, je ne dirais pas du tout qu’il faut lui foutre la paix, car pour les autistes, mettre des règles est très important. Mais avant de mettre des règles à l’enfant, il faut vous en mettre aussi  :

Règle du parent à table :

  • Cessez de le harceler avec des supers plats que vous aurez passé du temps à cuisiner : ça ne sert à rien, votre enfant ne va pas le manger. Et il se fout d’avoir un Botéro dans son assiette.
  • Ne l’obligez pas à manger : un enfant ne mange pas pour vous faire plaisir, il mange pour sa croissance donc ne jouez pas à ce petit jeu culpabilisant de « Allez, une cuillère pour faire plaisir à maman, sinon maman elle va pleurer ».
  • Bridez votre émotion : Ne cédez pas à vos impulsions de lui mettre une tarte/ de hurler/ de pleurer/de jeter devant lui le plat préparé : votre enfant sent bien qu’il y a un vrai enjeu dans les repas, alors cessez d’y mettre de l’émotion. FAITES SEMBLANT QUE C’EST UN MOMENT ANODIN, même si vous crevez d’angoisse. Il ne mange pas ? OK. On prend l’assiette, on lui fait un bisou et on le met à la sieste, et c’est tout.
  • Ne le bourrez pas de gâteau au goûter parce qu’il n’a rien mangé à midi : vous allez créer dans son petit corps des désordres alimentaires dont il n’a pas besoin.

Règle de l’enfant à table :

  • Les repas se prennent heures fixes : INTERDICTION DE GRIGNOTER ENTRE LES REPAS (je vous rappelle que c’est valable pour tous les êtres humains, votre enfant y compris, pour éviter le mauvais fonctionnement de cette merveilleuse machine qui s’appelle le corps humain) : petit déjeuner, repas du midi, gouter, repas du soir ET BASTA.
  • Installez votre enfant à table : les repas se prennent autour d’une table et pas au milieu du salon ; quand vous allez au resto ou chez des amis, vous mangez par terre, dans une chambre ? Et bien voilà, votre enfant doit savoir qu’en société, on mange autour d’une table et puis c’est tout. Donc on installe l’enfant à table, de préférence en même temps que votre repas, comme ça il voit que vous aussi, vous mangez, et c’est un bon exemple que vous lui donnez. S’il ne mange pas seul, pas de problème, vous lui donnez à manger tout en mangeant de votre côté, même si le repas est plus long, c’est un moment convivial que vous partagez avec lui.
  • Si l’enfant ne mange pas son repas : c’est pas grave. Vraiment pas. Mais ne lui proposez pas autre chose à la place : il ne doit manger ( ou pas ) que ce que vous avez préparé pour lui. S’il n’en veut pas, tant pis, mais il n’aura pas autre chose : le repas n’est pas un jeu pour faire tourner les parents en bourrique.
  • Des repas équilibré : s’il n’aime que les pâtes, proposez lui des pâtes, mais avec, vous rajoutez une petit bout de jambon, une petite tomate cerise. Il ne les mange pas ? Pas grave : il faut qu’il sache ce qu’est un repas équilibré. Et un jour, il y viendra, quand il se sentira prêt à découvrir de nouveaux goûts.

Il y a une chose à garder en mémoire  : votre enfant ne se laissera pas mourir de faim. S’il grandit bien, que son poids est stable, pas d’alerte. Par contre en cas de perte de poids, de courbe de croissance anormale, il faut évidemment consulter un médecin.

Pour revenir à ma fille, je vois très bien qu’elle essaie de m’avoir, et je ne cède pas :

  • Il arrive souvent qu’elle refuse de se mettre à table : je l’y oblige. Elle reste avec nous tout au long du repas, les bras croisés et la mine boudeuse. Elle ne mange pas, et tant pis pour elle, par contre, le moment du repas n’est pas une option à la carte : non, elle n’ira pas regarder un dessin animé, elle reste avec nous et puis c’est tout.
  • Elle ne mange pas le soir, ou très peu : je ne dis RIEN. Des fois elle accepte quand c’est moi qui lui donne à manger, et je me prête au jeu.
  • Je ne m’inquiète pas, parce qu’elle grandit bien, et c’est vraiment tout ce qui compte.

On n’a pas parlé d’une dernière chose : LE PLAISIR DE MANGER

J’adore manger, le bon vin, les bons petits plats, les pâtisseries. J’aime partager cela avec mes enfants, ça compte beaucoup pour moi. Du coup, certains soirs, je demande au Petit Prince de préparer l’apéro avec moi : on sort des olives, des tomates cerises, des boules de mozzarella, on coupe des petits carrés de pizza, on fait des roulés de jambon avec du fromage frais, on met des petites tranches de jambon de pays, des petits bâtonnets de carottes, de surimi, des radis, et on apporte tout sur la table basse du salon, c’est l’opération Tapas et un bon prétexte pour que ma fille pioche dedans et découvre des saveurs et le plaisir de partager un moment agréable en famille.

Manger ne doit pas être une lutte, mais un plaisir !

 

Voilà, j’espère que cet article pourra aider certains parents, et si vous avez d’autres méthodes, on les prend toutes ici ! Vos commentaires sont toujours les bienvenus.

32 réflexions sur “ Les troubles de l’alimentation chez l’enfant autiste ”

  • 16/05/2014 à 20:42
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    Merci beaucoup, de partager vos expériences, je vais suivre vos conseils, en espérant, qu’avec le temps, les tocs d’Andréa, concernant la nourriture s’atténuent.

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  • 18/05/2014 à 07:54
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    Bonjour, alors on a toutes nos expériences en fonction de l’enfant pour ma petite mounette qui a 2 ans et demi c’est un peu différent avec elle mais semblable sur la manière de faire. Je l’ai allaité jusqu’à ses 3 mois j’ai du arrêter car je n’avais pas beaucoup de lait et je voyais qu’elle voulais toujours plus je suis passée au biberon très difficile a vivre pour moi car je voulais lallaiter jusqu’au maximum mais elle a pris le biberon facilement et après dormais mieux faisait ses nuits etc. A la diversification je commence avec les compotes ,jus et les pots de légumes ensuite je voulais comme avec mes 2 autres enfants tout faire maison mais mounette n’en voulait pas par contre elle mangeait les petits pot du supermarché grrrrr.Elle a eu sa première dent a 12 mois en même temps que la marche mais a 10 mois elle mangeait du pain sans dent elle adore le pain jusqu’à aujourd’hui. A 13 mois jusqu’à 18 mois elle mangeait tout ou presque mais dans notre assiette chaque repas de papa et maman elle venait grappiller dans nos plat tous ce qu’on lui proposait elle le mangeait sans hésitation elle essayait aussi de répéter maman chat etc et puis après 18 mois calvaire elle a radicalement changée devenant très difficile quand on lui proposait quelque chose de nouveau elle voulait pas et ne mangeait que sélective. Les légumes elle les mange pas en morceau mais en petit pot bebe alors oui elle est trop grande pour ça mais j’ai essayé plusieurs autre forme en imitant le pot avec la couleur etc elle goute parfois mais des qu’elle voit que c’est pas le même goût elle en veut pas même si c’est bon. La pédiatre me dit c’est pas grave si elle mange les pots l essentiel c’est qu’elle mange des légumes. Et puis je fais toujours les même plat frites poissons , pâtes sauce bolo viande hachée , saucisses.mais attention pas n’importe qu’elle pâte les pâtes chiffre le reste elle veux pas, pizza, petit pots soupe légumes petits suisse compote banane gâteau avec du chocolat kinder pas du tout équilibré tout ça. Un jour j’en ai eu marre je cherche une solution je lui met une assiette avec dedans des choses qu’elle aime et je rajoute un élément nouveau dans l assiette elle y touche pas 1,2,3,4,5,6,7 jours après elle y goute bon si elle aime pas c’est pas grave après on rajoute chaque fois un nouveau et ça marche 2 eme méthode faire le clown : les spaghettis c’est drôle alors maman le met dans sa bouche et aspire elle a tout de suite aimée rigoler et elle la fait derrière depuis c’est acquis. on s’est rendu compte que plus on lui propose sans insisté elle mange bravo elle mange pas c’est pas grave on ne peut pas les forcer mais par contre si il mange rien rien d’autre faut surtout pas leur donner autre chose. Ma fille a mangee seule a 2 ans avant elle voulais pas mais la j’étais obligée d’accélérer les choses je prenais sa main pour faire les mouvements elle grognait criait non c’était plus facile quand maman faisait tout et elle s’énervait jusqu’à jeter son assiette au bout de la 3ème fois qu’elle a fais tombé son assiette je ne lui ai rien redonné derrière au lit sans manger elle a jamais recommencée. Et la ou je me retrouve sur votre histoire aussi c’est les gâteaux chips cassés elle aime que les morceaux soient intact.

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    • 18/05/2014 à 10:30
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      Alors oui, j’ai souri devant cette histoire parce qu’on a toutes le même vécu ! Ce que vous dites est essentiel : proposer des aliments nouveaux, sans forcer, rigoler avec les aliments pour dédramatiser ça peut-être une bonne chose aussi, attendre que ça se débloque tout seul… Voilà le secret, même si ce n’en ai pas un haha !

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      • 18/05/2014 à 13:39
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        J’avoue qu’avec son frère et sa sœur ça aide pas mal aussi quand maman ne peux plus la stimuler ils le font même si c’est pas facile pour eux ils arrivent a jouer avec et lui montrer exemple les haricots verts ma grande fille aime ça mon fils non alors ma fille dis c’est trop bon les haricots en les mangeants et mon fils beurk et elle a suivie sa sœur solidarité féminine ahahah ça a marché et puis pour les bêtises c’est son frère qu’il lui montre la grande c’est une sage donc ça fait la balance et ça aide a son autonomie.

  • 20/05/2014 à 15:21
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    J’aime beaucoup! Merci! J’ajouterais quand même un petit détail, certains enfants peuvent devenir tellement rigides avec les aliments (particulièrement si on tente de les forcer à manger) qu’ils vont en venir à cesser de manger et se rendre très malade. Le fameux « un enfant ne se laissera pas mourir de faim » n’est pas nécessairement vrai avec les enfants autistes. Cela dépend de l’enfant. C’est pourquoi c’est si important de ne pas les forcer, exactement comme vous dites! Dans mon cas, je dois donner parfois une collation le soir, car mon fils a des phases où il mange très très peu. C’est heureusement chose beaucoup moins fréquente aujourd’hui! Ça en revient à ce que vous dites, le parent doit se fier à son bon sens, sauf que parfois, on ne sait plus du tout! C’est pourquoi je précise.

    Et ce que vous appelez des tocs, ce serait des rigidités alimentaires. Par contre, je ne sais pas si c’est le même terme utilisé partout. Merci pour votre blogue, c’est intéressant de vous lire!

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    • 21/05/2014 à 09:51
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      Oui on est toujours entre le chaud et le froid avec les enfants autistes : d’un côté il faut être un peu rigide pour donner un cadre, de l’autre il ne faut pas trop être rigide pour que ça ne devienne pas envahissant.

      OK je notre pour les rigidités alimentaires, il me semblait bien que le terme de TOC n’était pas approprié dans ce cas là.

      Merci de votre témoignage Véronique !

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  • 16/09/2014 à 14:10
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    tous vos commentaires sont vraiment sympa a lire je m’y retrouve avec des comportement alimentaire que mon fils autiste TED a ou a eu….par contre la ou je suis vraiment désemparé c que depuis 15 jours je n’ai pas d’autre choix ayant repris le travail que de laisser mon fils a la catine tt les midis et j’ai été alerté car l ne mange strictement rien!!!!!! il bois de l’eau et recrache tt ce quil goute alors qu’a la maison il a un appetit d’ogre on a appris a reconnaitre les aliment qu’il affectionne et on compose mm s il n’aime pas ou outre on insiste pour qu’il goute et c tout mas la aucun repas de cantine dpuis 15 jours ingeré on s’inquiete donc pour sa santé help!!!!!!

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    • 16/09/2014 à 17:46
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      Il faut savoir pourquoi il ne mange rien : posez-lui la question indirectement, par un jeu par exemple, ou en prenant son Doudou et en l’interrogeant :  » Alors Doudou, comme ça a été à l’école aujourd’hui ?…et qu’est ce qu’il y avait de bon à manger à la cantine ? tu étais à côté de qui ?  » et laissez l’enfant répondre à la place de Doudou. Bon, ça ne marche que s’il est verbal. S’il ne l’est pas, dessinez avec lui la cantine, la salle, les couverts, et essayez à travers le dessin de comprendre ce qui se trame là-bas et ce qui le perturbe…

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  • 08/11/2014 à 14:24
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    Bonjour
    ce que vous d’ecrivez ressemble beaucoup au syndrome de dysoralite sensorie lmon fils 3 ans a été suivit par une orthophoniste pendant un an elle a fait un gros travail de désensibilisation il mange maintenant des morceaux en petite quantité

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  • 12/11/2014 à 14:33
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    Très bon article. Ici aussi mon fils a commencé à mangé en même temps que le lâché prise de maman. Certes il faut légèrement adapter et y aller graduellement mais plus question de faire 2 repas différents.

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  • 14/02/2015 à 22:01
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    J’ai un garçon autiste qui est agé de 15 ans avec des troubles alimentaires très très important et je n’ai pas réussi à obtenir une aide aidante ( autre que me dire: si sa vie est en danger aller à l’hôpital ). Pourtant cela provient d’hôpitaux reconnus à Montréal. CLSC: intervenante psychosociale nous dit qu’il doit assumer les conséquences de ses comportements rigides et qu’il doit agir dans les tons de GRIS plutôt de noir/blanc. Assumer les conséquences par rapport à des vêtements usés… bon d’accord… mais pour l’alimentation…ouf.. il mesure 5 pieds 9 (175 cm) et pèse 110 lbs habillé. Tout est compliqué…Si il y a nouveau restaurent on doit le préparer et mettre une histoire à ce resto ex: Resto préféré de grand-maman. Alors dans ce cas il va manger. Il n’a jamais mangé à l’école, ni camps de jours qui était dans la nature si on insiste = crise. Nouvelle passion pour les choses Japonaises..donc il mange de tout …ce qui à rapport à cette alimentation 🙂 Maintenant le seul contact (ami) qu’il a est devenu végétarien donc il mange comme lui…Mais là, là faire 2 repas.. ouf..surtout végétarien je suis loin d’être le super chef 🙂 Bref si il n’y a pas de repas végétarien ..he bien il ne mange tout simplement rien ha oui 4 toast le matin…Bref…j’en suis très triste de ne pas avoir de services spécialisé car il est en pleine croissance. J’aimerai savoir comment réussir à faire des interventions…

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    • 15/02/2015 à 11:46
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      Oui c’est compliqué. Lors du congrès Autisme France de décembre dernier à Paris, il y avait un intervenant sur l’alimentation des autistes, et un dossier ditribué en complément. J’espère les retrouver et les scanner pour vous les mettre à disposition.

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  • 06/05/2015 à 06:19
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    bonjour,
    voila, mon fils a 2 ans et demi, il est suivi au CAMPS depuis novembre 2014 pour une suspicion de TED léger. Mon gros pb c’est que il a un pb de nourriture. Apparemment il est hypersensible au toucher, aux textures, aux goûts…
    Il va regarder ce que je vais lui proposer, après il va le toucher, puis il va le toucher avec la langue et si tous ca lui plait le mettra a la bouche et décidera ou non de l’avaler. Donc il va procéder a plusieurs étapes.
    Ce qu’il mange actuellement c’est : Son lait de riz, yaourts, tome de brebis, frites, nuggets, brioches, galettes, chocolat, banane, pommes. Voilà c’est tous, donc ca reste très limité. J’ai lâché prise et je lui donne ce qu’il veut. Comme me dit la pédo-psy, ça ne sert à rien de le forcer ou de le priver de manger (en lui proposant de manger ce qu’il y a dans son assiette ou rien) car lui c’est un pb de textures et ça ne servira à rien.
    Est-ce que vous avez eu autant de difficulté pour diversifier ses repas? Comment avez vous fait sachant que c’est un pb de textures? Tous les repas je me casse la tète, je ne vais pas lui servir midi et soir que des frites et des nuggets.
    Aidez moi SVP

    Réponse
    • 06/05/2015 à 13:56
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      C’est sûr c’est pas hyper équilibré. Mais il n’a même pas 3 ans alors il a tout le temps d’apprendre de nouvelles textures ! Proposez lui dans l’assiette d’autres aliments, comme un bout de jambon, un bout de salade ou autre à chaque repas. S’il ne mange pas, c’est pas grave ! Mais l’idée est de lui proposer pour qu’un jour la curiosité soit plus forte et qu’il ait envie de gouter. Un seul aliment nouveau par repas par contre. Laissez – lui le temps, pour l’instant ce n’est pas grave du tout…

      Réponse
  • 11/09/2015 à 13:08
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    Bonjour,
    notre fils qui a un syndrome d’asperger et qui a 10 ans bientot devient de plus en plus sélectif sur la nourriture refusant tout ce qui est mou et qui contient du gras et ne veut pas de porc. On s’est adapté à la maison et j’ai demandé à ce qu’à la cantine, on ne le force pas pour ces aliments-là mais on me demande un papier officiel,
    avez vous déjà eu recours à une attestation du médecin pour les troubles alimentaire ou à ce qu’ils appellent un PAI?
    merci de vos expériences.

    Réponse
  • 22/09/2015 à 23:13
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    je suis avs d’un petit prince de 5 ans plus pour tres longtemps car cela fait presque un an et je ne suis pas renouvelée car l’instit de l’année dernière a fait un courrier à l inspection académique disant que j’étais nulle et ceux malgré tous les progrès du petit… Bref je vais donc très bientôt plus m’occuper de mon petit prince et j’aimerais être certaine que tout va bien pour lui or 2 problèmes persiste la communication ( mai camps s’en charge et je pense que cela se débloqueras) et ses tocs alimentaire il ne se nourrit que de bib de lait et de pain il ne mange rien d’autre la maman qui a arrété de travailler pour s’occuper de lui, elle lui propose plein de chose mais rien ne bouge et cela dure depuis 5 ans que puis je proposer à la maman que je sent de plus en plus déprimée et à bout

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    • 27/09/2016 à 13:03
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      Bonjour, mon fils est exactement dans la même situation, pouvez-vous me donner des nouvelles de ce petit prince (si vous avez pu rester en contact) ?

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  • 09/03/2016 à 20:11
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    Mon petit prince mangeait de tout jusqu’a ses 1.5 ans… Il mangeait meme le couscous pleins de legume de poulet et mouton! et puis je ne sais pas pourquoi, il a commence a refuser la nourriture progressivement jusqu’a n’accepter que des yahourts… rien d’autre…. il a bcp maigrit…. et je peux vous dire que SI « un enfant autiste peut se laisser mourrir de faim »…. quand il a eu 3 ans nous avons fait un voyage au Cameroun…. Il n’a Presque rien manger pendant 3 semaines (heureusement que les frittes existe un peu partout ainsi que le Ketchup)… Nous nous sommes bcp inquietes. Pour info le diagnostic autistic est arrive après ce voyage.
    Aujourd’hui il a plus de 5 ans.. j’ai tout lache sur la nourriture.. il fait ce qu’il veut (ou Presque).. et des reflexions de ma mere j’en ai tout pleins…. mais il progresse bien. Il mange a l’ecole et la bas mis a part les legumes et certain fruits il s’ouvre a d’autes aliments… J’attend maintenant qu’il me ramene ses « bonnes habitudes » a la maison. Parce qu’il se mefie de la nourriture que je prepare depuis que j’ai fait une erreur.
    Il mangeait des croques Monsieur trempes dans la compotes (il adorait ca et je trouvais ca bien cela faisait un repas complet)… mais un jour ou je n’ai pas fait attention, le jambon etait avarie.. trop tard, il l’a repere et par la suite a refuser de manger tout ce que je preparai…. et cela pendant 3 mois…. retour a la case depart!

    Mais en effet, le temps semble faire les choses et j’espere qu’un jour il acceptera de la salade verte ou un simple morceau de steak

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    • 17/03/2016 à 17:36
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      Oui il faut laisser le temps au temps. Pas facile, mais tant que la courbe de croissance est correcte, ça va… Bisous

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  • 19/04/2016 à 22:25
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    La plupart des enfants autistes ont des problèmes intestinaux et donc des problèmes avec la nourriture. On parle de + en + de « l’intestin le deuxième cerveau  » .
    Notre fils (4 ans, TED depuis 1 an) était devenu très sélectif.pour sa nourriture et problèmes gastriques quotidiens. Nous avons commencé le régime sans Gluten, sans lactose et sans soja. Après seulement deux semaines nous avons déjà récupéré son regard !
    Ensuite complément alimentaires et vitamines ont été ajoutés. Après un an, il lui manque que le langage, il comprend tout.

    Je vous conseille ces livres :

    – « Le syndrome entéropsychologique » du docteur N. Campbell (très bien écrit, facile à comprendre- 36€ sur Amazon)
    – « Le charme discret de l’intestin » de G. Enders (20€)

    Nous venons de commencer un essai de Magnésium/ Vitamine B-6. Ce livre en parle très bien (et aussi pour les enfants hyperactifs, pas seulement autistes)

    – « Hyperactivité – La solution magnésium » du Dr Mousain Bosc (10€)

    ou ici : http://www.ted-caetera.fr/magnesium-b6-c21206742

    Ce site est aussi très intéressant, cela concerne un congrès du mois de janvier 2016. Le DVD est disponible, très intéressant car plusieurs approches: Chronimed, régime, compléments alimentaires, homéo,…

    http://www.congressortirdelautisme.com/

    Voila petite contribution de parents qui pourraient peut être en aider d’autres !

    Courage !

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    • 13/08/2016 à 21:01
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      un grand merci pour vos précieux conseils.notre petit bonhomme vient d avoir 5 ans et ne mange que des frites et des nuggets.encore merci

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  • 23/06/2016 à 16:51
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    Merci pour cet article.j e reconnait mon petit prince dans votre témoignage et je procéde comme vous

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  • 19/08/2016 à 09:54
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    Bonjour,
    Je me retrouve totalement dans votre expérience.
    Lapin (3.5 ans et TSA) mangeait de tout, puis, plus de légumes, plus de fruits (seulement en compote), que des pâtes, de frites, de la viande, des pommes de terre et des petits pois carotte. Et je ne parle pas seulement des « TOC » (les aliments qui ne doivent pas se toucher, le babybel cassé). Les repas sont difficiles. La cantine, nous avons abandonné pour l’instant car ça se passe très mal et ça l’angoisse.
    Et nous avons également un gros souci d’encoprésie. Nous « testons » depuis début août le régime sans gluten, pour voir si ça améliore son transit. C’est très compliqué de lui faire manger des légumes. J’ai essayé tous les subterfuges sans succès. Elle boit quand même des jus de fruits frais. Et pourtant, elle participe à m’aider à la cuisine, je lui fais « couper » les légumes, je lui propose toujours de goûter.
    En ce moment, elle est dans sa période « rose », donc je vais tenter la purée « rose », on ne sait jamais. Elle est très sensible à la texture, la purée et la soupe peuvent passer, mais ça dépend de son humeur, les jus de fruits ne doivent pas être épais… Je prépare les repas avec elle, elle coupe les légumes, je lui propose toujours de goûter. Nous faisons aussi attention au sucre qui a tendance à l’énerver (hyperactivité)
    On ne se prendrait pas la tête si il n’y avait pas ce gros souci d’encoprésie.
    Pour les « TOC », la pédopsy nous a dit de ne pas aller dans son sens, mais on a vite fait appel à notre bon sens, on a opté pour l’assiette à compartiments, on lui donne du ketchup, on la laisse choisir ses couverts, et on lui explique que ce n’est pas grave si le biscuit ou le babybel sont cassés, qu’elle n’a rien et que pour le réparer, il faut le manger. ça ne passe pas tout le temps, mais elle mange souvent une moitié. Comme pour de nombreux parents, on en a aussi marre des cris pour manger, alors on « tatonne », on essaie, ce qui marche un jour peut ne plus fonctionner du jour au lendemain, les belles assiettes ne fonctionnent pas, on vit des échecs, mais c’est ça aussi la vie de parents.

    Ah et les réflexions et conseils, on en fait tous les frais 😉

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  • 18/11/2016 à 15:32
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    bonjour a toutes et a tous, mon petit coeur est un grand préma de 31 sA et a vécu les deux premiers mois de sa vie séparé de moi , de nous, il fut intubé et sondé pendant environ 5semaines , et cela n’est pas sans conséquence sur notre quotidien, mon petit coeur de 3ans est TED.
    j’ai allaité mon fils jusque 14mois, et commencé la diversification alimentaire a 6mois; au début pas de problemes les soupes et compotes passaient tres bien, et en redemandait, puis nous sommes passé au aliments mous, la encore ca allait puisqu il s’agissait principalement de purées de légumes et viandes ou poissons en tout petit morceaux , quel travail tiens de couper presque hacher la viande!
    puis vint le temps des vrai morceaux, au début je ne voyais pas trop ce que mon fils faisait certes il mangeait lentement ,faisait une sucion avec les aliment durs mais sans plus puisqu il finissait par avaler et je n’etais pas inquiete puisque meme de petite taille il correspondait poids taille par rapport a sa prématurité
    un jour la puericultrice est venue nous voir, elle pesait mon petit les premiers mois a la sortie d’hopital, et mon fils faisait sa sieste , il s’est reveillé et avait un truc dans la bouge, c ‘etait le brocoli du midi….. j’ai eu honte devant la puer, la j’ai pris conscience que mon fils ne mangeait pas correctement mais le medecin continuait de me dire ca va passer; un jour et quelle patience j’ai eu, le repas a durer une heure trente, car bien sur impossible de lui enlever l’assiete, il devait finir sinon la crise; donc nous avons patienter tous les deux .ce jour la, puis les jours d’apres et les mois. J ai changer la méthode je le laissais manger comme nous bien sur je coupais les gros morceaux je ne faisais plus de petit plats pour lui mais je le stimulais et le demandais de macher , ben oui les dents ca sert a ca; mais sans grand succes j’etais tellement inquiete , car son alimentation etait elle assez riche finalement??? car par la suite je devais lui enlever ce qu il cachait derriere ses dents et sur son palais combien de fois j’ai pas retrouver la moitié de son assieste :)) selmane n’est pas un petit garcon qui dit qu’il a faim, il sait bien parler mais la faim non il ne dis pas,,,,
    pour en revenir ,selmane a donc ce que l on appelle un trouble de l’oralité , au niveau des textures egalement certaines passent d’autres non, certains aliment passent parfois et puis d’autres fois non; c’est a dire que parfois il les maches et d’autres fois les sucent, et s’endort ou plutot s’evade… une orthophoniste formée en trouble de l’oralité nous a aider, a comprendre ce qu’il avait ca arrive aux personnes qui ont été longtemps sondé adultes hospitalisé, personnes handicpés et bien sur les petits bébé et enfant, donc il faut patienter trouver des techniques laisser faire l’enfant dans ce que nous acceptons, le guider par exemple si je le laisse le repas du matin on y est encore au déjeuner, alors nous mangeons tous ensemble et une fois la table presque fini de debarasser je montre a mon fils certes que je dois finir de debarasser mais que il n’a plus faim ou alors qu il peut passer au dessert car si je lui donne le dessert mais laisse l’assiete il reviendra sur l’assiete,, on y est encore quoi… avec son grand frere et sa petite soeur qui elle a commencer a macher, mieux que lui)), on jouais a qui macherait et mastiquait le plus, faire du bruit quand on mache on fait le petit lion …etc
    voila si vos petits ou grands donc on des difficulites pour les textures ou encore la mastication comme le mien qui on pourrait dire n’est pas inné puisque je dois lui rappeler qu il peut et qu il sait macher,, une orthophoniste formée en trouble de l’oralité peut aider votre enfant, tous les ortho ne le font pas renseignez vous
    prenez soin de vous et de vos enfants
    delphineL

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  • 16/01/2017 à 00:56
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    bonjours,mon nom et Gabriel Baudet jai 14ans, moi et ma sœur autiste nous sommes des jumaux jai bien aimer lire votre vécue sur cela et ma sœur ne mange rien rien rien nous sommes très inquiete mes maintenants nous serions en sorte quoi fait moi et ma mère a lie cette « histoire »3fois et nous avons bien aimer les personnages en nourriture 🙂 nous allons tout prendre sa en note et esseiller,esseiller,esseiller san arret pour comprendre merci encore:)

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  • 09/04/2017 à 21:49
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    Bonjour,

    Je suis maman d’un garçon de 4 ans autiste.je suis tombée sur ce post, et mes larmes ont coulé. j’ai appris et compris plusieurs choses surtout ne pas dramatiser les repas , et que je ne suis pas seule au monde (rires). Théo a mangé de tout très équilibré jusqu’à ses trois ans et depuis c’est très compliqué et je suis inquiète. Pourtant il grandit et prends du poids. Merci pour toutes ces informations.

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  • 18/10/2017 à 17:52
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    Hello, je viens de decoivrir cet article . J ai une fille autiste de 3ans et elle ne mange pas la nourriture solide elle est encire au biberonelle grignote un peu de viande poulet poisson, elle aime bien les fruits et le pain. Je lui ai donnes differentes vitamines c est toujours la meme chose . Je ne sais pas comment faire pour arreter le biberon vu que ce n est que ca qu elle prend j ai essaye de lui donner juste un biberon le matin et un le soir et dans la journee de lui proposer a manger elle resiste en 3 jours elle perd du poids deja qu elle est maigre. Les medecins n ont pas de conseil concret ils disent qu elle doit arreter le biberon mais pas d astuce utile a part les vitamines. Il y en a meme un qui m a dit que les vitamines n y changeront rien c est un probleme de texture. …. je suis depassee si vous avez des conseils a me donner ca m aiderait beaucoup.

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